La réponse à ces deux questions se fera selon les idées d’opposition préconçues des 3 écoles de pensée existantes :
• L’objectif de l’action,
• La prévisibilité des conduites humaines
• L’orientation normative.
Au sein d’une même école de pensée, les points de vue divergent selon la vision du travail des penseurs.
Certains définissent le facteur humain, comme la relation existante entre le comportement d’un humain et son environnement, ainsi que les différentes réactions -conscientes ou inconscientes- dû au paradoxe existant entre ce qui existante dans la réalité et comment l’homme perçoit les choses. On citera à titre d’exemple l’ergonomie, science qui étudie l’interaction des comportements humains avec le monde du travail.
Tout au long de son ouvrage «le facteur humain », l’auteur cherchera à analyser la mystérieuse notion de facteur humain, en exposant les idées que les ergonomes et ingénieurs se font sur le comportement de l’homme au travail, et qui a tendance à fausser leurs jugements et perceptions sur le facteur humain.
L’auteur précise l’importance de distinguer entre la science fondamentale qui produit des connaissances, et la science appliquée qui les transforme en actions. Selon lui, les études sur le facteur humain doivent être basées sur des observations sur le terrain, et non source d’hypothèses.
Pour orienter sa recherche, Christophe Dejours a traité 2 questions essentielles :
• Quelles sont les origines et quels sont les moyens de contrôler les défaillances humaines en situation de travail a travers la science appliquée ?
• Comment mobiliser, développer et gérer les ressources humaines à travers les connaissances, c'est-à-dire, la science fondamentale ?
La réponse à ces deux questions se fera selon les idées d’opposition préconçues des 3 écoles de pensée existantes :
• L’objectif de l’action,
• La prévisibilité des conduites humaines
• L’orientation normative.
Au sein d’une même école de pensée, les points de vue divergent