Le feu (Barbusse)
Forme
Genre
Sous-titre : journal d’une escouade. – réaliste !
Présentation matérielle Préface 24 chapitres, divisées par des astérisques Carnet de guerre
Perspective de narration Le ‘je’ qui parle (journal, il était lui-même soldat et puis bancardier) Le je se développe au cours de l’histoire. Au début il prend encore distance et décrit.
Structure
Description réaliste et détaillé + dialogues en dialectes
Syntaxe
Images et métaphores Métaphores bestiales pour les hommes (vaches, chiens, domestiques,…)
Clichés
Autour des femmes
Ironie Humour Comique Gott mit uns ; Dieu avec nous. P 24, p 54
Symboles
Oralité
Thèmes et motifs
Les autres L’embusqué
On ne le reproche pas d’avoir peur, mais bien de jouer au poilu. Il est calamistré, débrouillard et élégant. L’arrière et le civil Ils donnent du courage (lettres), mais n’en comprennent rien. L’armée (officier EM QG médecins) La presse et le journaliste
Disent toujours la même chose. Viennent regarder dans les tranchées et écrivent sans sentir
Camarades (rapports entre - )
Ils se battent l’un pour l’autre, mais il y a beaucoup de bagarres aussi. Ils ne peuvent pleurer des morts, qu’après la guerre.
L’Allemand
La race L’ennemi/ le combattant Le vrai ennemi : l’eau ! Le prisonnier
En fait, il n’ont rien contre l’ennemi, mais bien contre la guerre. Ils ne veulent pas tuer les Allemands, mais sauver les Français. Les ennemis ont les mêmes sentiments ! Il viendra un autre ennemi, autre que les Allemands.
La femme L’épouse Donne du courage. Ils aiment leurs femmes, mais que font-elles à la maison ? L’infirmière La mère Rencontres En général
Encore assez positive.
Tragédie Fatalité Décrit en détail. Grand nombre de morts. Décrit comme un spectacle (p. 229)
La violence Le héros et le courage
Il ne trouvent pas qu’ils sont des héros. Ils sont des simples hommes La blessure Détails. Mourir et tuer
Décrit en