Le figaro
« Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. »
Sa ligne éditoriale est de droite et de centre-droit conservatrice[2], selon le spectre politique français habituellement utilisé, et réunit une majorité de lecteurs de droite[3],[4] . Le Figaro est depuis 2004, la propriété de l'industriel et sénateur UMP de l'Essonne, Serge Dassault via la Société du Figaro, filiale de la Socpresse, dont celui-ci est le président et unique actionnaire.Figaro est un des personnages de Beaumarchais, héros du Barbier de Séville, du Mariage de Figaro et de la Mère coupable.
Le Figaro comporte d'autres références au personnage dont il tire son nom, comme « Figaro-ci, Figaro-là », Le Barbier de Séville.
À une époque, cette devise fut remplacée par : « Loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là, me moquant des sots, bravant les méchants, je me presse de rire de tout… de peur d'être obligé d'en pleurer... », puis la devise initiale fut restaurée, un temps discrètement, puis de nouveau en première page depuis la dernière maquette.
Ligne éditoriale
Le Figaro, d'après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre-droit[5]. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d'idées ancrés à droite ou au centre-droit. Il s'agit principalement du libéralisme classique ou l'éclectisme libéral[6] jumelé avec un conservatisme social. Il est aussi souvent classé comme gardien de l’éclectisme culturel de la droite française par ses oppositions à la Commune de Paris, au communisme, ou par ses sympathies gaullistes[7], ou encore par son attachement au système républicain. L'un des slogans de sa campagne publicitaire de 2005 était « en matière d'économie nous sommes pour le libre-échange. En