Fiche du roman le Gone du Chaâba
- L’auteur nous décrit avec beaucoup de détails les conditions de vie au Chaâba et à Villeurbanne.
- Azouz Begag nous donne l’occassion d’apprendre quelques mots bouzidiens et azouziens en écrivant certains dialogues avec ce dialecte.
- Les sentiments des personnes sont racontés avec beaucoup de détails ce qui rend le petit Azouz et sa famille encore plus attachants.
Défauts :
- La première partie de l’autobiographie (c’est-à-dire jusqu’à l’histoire de la viande clandestine au Chaâba) est trop longue, sans actions et événements importants. Un résumé de cette partie aurait été suffisant.
- On ne connaît pas la suite de l’histoire. L’auteur aurait pu faire une ellipse et poursuivre le récit en racontant ce qui a donné l’envie au narrateur, auteur et personnage, Azouz Begag, de devenir écrivain.
- L’auteur nous donne beaucoup d’indices spatiaux mais pas assez d’indices temporels sinon ceux de début et fin de journée. Il n’y a qu’une date, celle du déménagement de la famille Begag: " le premier week-end du mois d’août 1966 ".
Barbara L., 3eA
- C’est l’histoire d’un petit garçon arabe se nommant Azouz. Il ne connaissait pas grand chose à la vie. Il vivait dans un bidonville surnommé le Chaâba. Il décida de faire les marchés pour gagner de l’argent pendant les vacances avec ses cousins.
À la rentrée de l’école, il était toujours au fond de la classe, avec les autres Algériens. Puis un jour, en ayant assez d’être toujours dernier au classement, il décida de travailler et de réviser. Il arriva deuxième au classement. Les autres gones lui dirent que ce n’était pas un Arabe, qu’il avait juste la couleur de peau, qu’il avait honte de ses origines et qu’il désirait être français.
Quelques mois plus tard, les policiers vinrent au Chaâba. Le père d’Azouz s’occupait d’un trafic de viande. Azouz le dénonça sous l’influence du policier. Pendant ce temps, des immeubles étaient en construction pour déménager les Marocains, les Tunisiens et les Algériens. Les