Le Liban à la pointe du e-commerce dans la région
Les soi-disant « cybermarchands » ont attiré une grande partie de l’attention associée au commerce électronique et à Internet. Il devient toutefois de plus en plus évident que l’attention accordée à ces entreprises est beaucoup plus grande que leur importance économique. La plupart sont des détaillants et si bon nombre d’entre eux ont remarquablement réussi et enregistré des taux de croissance élevés, leur contribution quantitative à l’ensemble du commerce de détail n’est pas grande. Leur émergence s’explique par le fait que le marché électronique est favorable à l’expérimentation de nouvelles technologies et de nouvelles façons de réaliser des transactions.
Les grandes entreprises peuvent utiliser les mêmes technologies et les mêmes techniques que les cybermarchands et, éventuellement, les supplanter, car elles pourront intégrer ces stratégies à leurs opérations traditionnelles et cibler plusieurs créneaux en même temps.
Les structures des organisations virtuelles font appel aux capacités et aux ressources de nombreux acteurs de manière à partager les risques. Une telle structure présente toutefois des risques. Les entreprises centralisées intégrées, qui sont l’opposé de l’entreprise virtuelle, ne récompensent habituellement pas ceux qui prennent des risques, mais elles ont des processus en place