Le mal fait partie de chacun d'entre nous. Il se manifeste dans des situations extrêmes tels que la guerre et l'Holocauste ou bien sous une pression extérieure la majorité du temps. Par exemple, dans l'expérience de Zimbardo, les participants de l'expérience sont mises dans une situation inhabituelle: ils sont mises dans une situation de déshumanisation pour les prisonniers et de déindividualisation pour les gardiens de prison. Vu que les gardiens portent des vêtements similaires et des lunettes de soleil, cela leur confère un sentiment d'autorité et de manque de responsabilité individuelle (peut pas voir leurs yeux). Les prisonniers portent des numéros, donc les gardiens ne les voient pas comme de individus ayant des sentiments et une famille, mais plutôt des « objets » pouvant être maltraités. Vu qu'aucun gardien ne se révolte pour dénoncer le mal et vu qu'un gardien est influencé par les autres gardiens qui ne disent, la situation d'abus n'est pas arrêté. Ainsi, ce sont les situations qui causent le mal, qui n'est donc pas une caractéristique innée de la personne qui se manifeste sans raison. Cela peut donc expliquer les actions abominables en Iraq. Ces gens ne sont pas prédisposés à commettre ces actes terribles, mais plutôt corrompus par la situation et ainsi le mal que chacun de nous peut faire s'est dévoilé.

Dans l'expérience de Milgram, des gens tout à fait normals ont accepté d'infliger des chocs électriques mortels sous l'ordre d'une personne en sarrau, donc ayant l'air d'une autorité professionnelle. Vu que les gens ne se sentaient pas vraiment responsables de la situation, ils ont été plus enclin à écouter le scientifique, qui a exprimé sa responsabilité complète face à la situation. Ces gens ne se sentent donc pas vraiment en train de faire une action mauvaise, mais plutôt seulement suivre des ordres, ce qui est bien. Le mal en chacun de nous s'exprime donc sous pression ou sous l'influence d'une autorité. Ainsi, la SS fait donc leurs actions