Le marché de la bijouterie fantaisie à l’horizon 2013
Perspectives de développement et analyse de la structure concurrentielle par grand circuit de distribution
La bijouterie fantaisie : une pépite au sein du commerce de détail
Etincelant ! Le marché de la bijouterie fantaisie et argent a bondi de plus de 6% en 2010 (après +3,8% en 2009). Ce dynamisme contraste indéniablement avec la morosité du commerce de détail. Le bijou fantaisie fait clairement partie des plaisirs « superflus » auxquels la consommatrice n’est pas prête de renoncer, même en temps de crise. Et les distributeurs ne s’y trompent pas : prolifération de l’offre, multiplication des marques, créativité et renouvellement beaucoup plus rapide des collections, etc. Leurs offensives ont ainsi dopé la demande de bijoux fantaisie. L’embellie va d’ailleurs se poursuivre dans les prochaines années. Les experts de Xerfi tablent en effet sur une croissance des ventes de 5% par an pour atteindre 1,4 milliard d’euros d’ici 2013. Mais, gare à l’euphorie : la bataille pour capter cette manne s’annonce âpre sur un marché de la bijouterie fantaisie d’ores et déjà très disputé.
Un marché qui attise plus que jamais les convoitises
Foisonnant et largement atomisé, le segment de la bijouterie fantaisie attire de plus en plus de distributeurs, qu’il s’agisse de marques-enseignes ou d’opérateurs non spécialistes. Xerfi dresse un panorama complet et détaillé du marché de la bijouterie fantaisie : des enseignes d’accessoires de mode entrée de gamme telles que Claire’s et Môa aux griffes haut de gamme comme Réminiscence, Thomas Sabo ou le leader du cristal taillé Swarovski, en passant par des marques au positionnement intermédiaire (Agatha, Eliot Bijoux, Pilgrim…). L’étude analyse également l’offre et le positionnement de divers circuits de distribution, à la fois concurrents et partenaires des spécialistes de la bijouterie fantaisie : bijouteries traditionnelles, grands magasins, chaînes de prêt-à-porter, grandes