PESTEL
1 Politique : Avec une réglementation contraignante régie par l'ANVISA. Elle est responsable de l’autorisation de commercialisation d'articles de toilette, cosmétiques et parfums, par l'octroi de l'enregistrement ou de notification afin de garantir au consommateur d'acheter des produits sûrs et de qualité. L'ANVISA supervise également et établit des normes pour les fabricants, le contrôle des processus de production, des techniques et méthodes employées pour la consommation finale.
Le moins : Le seul frein de taille pouvant effrayer les exportateurs français et investisseurs est celui de la complexité de la fiscalité brésilienne.
2 Economique : Les plus : Le Brésil arrive en 3eme position du marché mondial de la cosmétique après lesUSA et le Japon. Il pourrait devenir le 2e marché mondial d’ici 2013, et devrait croître d’environ 5% par an en volume d’ici 2015 , selon Joa Carlos Basilio, le président d’ ABIHPEC ( Association brésilienne de l’industrie de l’hygiène personnelle, parfumerie et cosmétique)
Le secteur cosmétique brésilien a enregistré au cours des 15 dernières années, une croissance exceptionnelle de 10,5% par an en moyenne. 3ème marché mondial en 2010 avec un chiffre d'affaires de 27,3 milliards BRL (15,6 milliards USD), il pourrait se hisser dès 2013 au 2ème rang mondial.
Classement mondial par segment de marché : (source ; Euromonitor)
· 2ème consommateur de parfums, produits infantiles et déodorants
· 3ème consommateur de produits capillaires
· 4ème consommateur de produits pour l’hygiène buccale et de produits masculins
· 5ème consommateur de produits pour le bain
Le bon rapport qualité/prix : les fabricants locaux disposent de marques fortes déjà bien installées sur le territoire avec un bon rapport qualité/prix.
Les moins : Mais il ne faut pas négliger les conditions d’accès au marché qui sont difficiles, car le Brésil est un pays :Producteur : Compte tenu du potentiel, le marché brésilien a déjà