Le Martinet La composition qui épouse l’évocation de l’oiseau. Poème en prose qui ne suit pas de règle de versification. Constitué de 6 strophes courtes composées de 1 à 4 phrases : qui représente le battement de l’aile de l’oiseau (avec sa rythmique rapide). Composition simple. Utilisation répétitif du verbe « être » 6 fois, il y à aussi 17 verbes au présent : l’instant présent, 7 fois il. De +, la rapidité du vol est marqué dans la ligne 1 « vire », « dessèche »ligne 3, « filera » ligne 9. Connotation de dessèche associé au fait qu’il est brusque. « Il n’est pas … » Impossibilité de l’œil image d’avoir une image fixe de l’oiseau (tjs en mvmt) ce qui le définit essentiellement. Ajouté à cela, associat° de « crie » et « cœur » associé au crie du cœur. Allitérations: l1: r « Martinet », « vire », « crie », « autour », « cœur », l.3 en s « dessèche », « sème », « serein » mais aussi des assonances en è : « sème », « tonnerre », en i : « répartie », « hirondelle », « il ». Le crie est sa 2ème principale caractéristique « il crie, c’est toute sa présence ». Assonance en è explication: « dessèche le tonnerre » comme il apparait juste à la fin du tonnerre on à l’impression que c’est lui qui estompe ou efface l’orage, « sème dans le ciel » sème prend un double sens : le fait de perdre ses graines ou d’essaimer ces graines dans difflieux. « Sa pause est aux creux le plus sombre » à la fois le savoir : il va se loger sous la gouttière sous le toit (fait référence à son nid) « sombre » évoque la part de mystère de cet animal, la part caché (ainsi que la part de ses sentiments). «L’été … Il filera dans les ténèbres » nous rappelle qu’au début du mois d’aout ils disparaissent jusqu'à l’année suivante. L’antithèse « clarté »/ « ténèbres» on passe de ce qui se voit à ce qui ne se voit plus. Transition : Ce mystère est complété par la métaphore « persiennes de minuit » qui par le mot « persiennes » établit 1 correspondance entre le dedans et le dehors, l’intimité et