Le mur est une nouvelle qui fait parti d’un recueil de Jean-Paul Sartre publié en 1939. Le narrateur est un personnage de la nouvelle, Pablo Ibbieta qui est un prisonnier républicain espagnol condamné à être fusillé par les franquistes avec deux autres personnages Tom et Juan. Pablo raconte ses dernières heures dans une cellule. Nous allons étudier le passage de la ligne 117 à la ligne 147 qui est marqué par la venue du médecin Belge. En premier temps je vais vous montré pourquoi l’arrivé du médecin crée une opposition entre la vie et la mort. Et en second temps l’impuissance du médecin belge face aux détenus.
L’arrivé du Médecin Belge à la ligne 117 est un nouvelle obstacle pour les détenus, ce médecin leur permet de prendre consciences que c’est bientôt la fin pour eux qu’ils vont se faire fusiller tandis que le médecin non il va continuer sa vie tranquillement il sait qu’il restera vivant au moment où Pablo, Tom et Juan seront tué Ce qui opposent les détenus au médecin c’est qu’eux le mort est déjà préparer ils savent quand et comment ils vont mourir parce que des personnes l’on décidé et qu’ils sont soumis à eux contrairement au médecin qui a le contrôle sur sa vie.
Le médecin belge n’apporte que des choses matériel comme des cigares ligne 124 mais aucune chaleur humaine aucun sentiments vis-à vis des détenus. Mais il fait quand même son rôle de médecin en prenant le pouls de Juan qui est très affaibli comme le dit le narrateur ligne 142 « Puis je vis la main du Belge descendre sournoisement le long du bras de Juan jusqu’au poignet ». Le médecin portait un uniforme belge il représenter un autre pays mais il ne sait révolter sur la condamnation ou bien leur conditions ce n’était pas choquant pour lui. Le Belge était impuissant il ne faisait que de témoigner
Pour conclure se passage de la lige 117 à 147 nous montre que les personnages ont accepté leur mort, de toute manière ils n’avaient pas leur mot à dire sur cette décision qui a était