Du réalisme jusqu’au Nouveau Roman
La France, pendant les années quarante et cinquante, a passé une période de chaos dans plusieurs sens. La France a participé aux deux guerres mondiales, et était même partialement envahi par l’Allemagne pendant la deuxième Guerre Mondiale. Les Français étaient épuisés par la guerre, et choqués par la perte de leur patrie, commencèrent à interroger le départ de cette tragédie chaotique. Cette interrogation politique a inspiré aussi les arts et la littérature ; il y a eu des mouvements dans les arts et la littérature, où les artistes et les écrivains se sont engager à rompre les arts et les littérature du passé ; ils pensaient que c’était ce passé qui leur a apporté ce misère, et en l’abandonnant et en démarrant une nouvelle école, ils croyaient qu’ils pouvaient s’en sortir de cette malheur. Ce désordre introduit beaucoup de conflit dans les politiques ce qui est montré par l’art et la littérature. L’art s’est lancé d’abord vers son innovation en Suisse dans les 1910s, où les artistes se sont réfugiés pendant la Première Guerre Mondiale : voilà l’apparition du dadaïsme, qui est succédé par le surréalisme. Cette école a propagé de l’art jusqu’à la littérature, et on voit cette influence dans les poésies, les romans etc. Mais de plus, ce mouvement est branché encore plus dans la philosophie que l’on voit chez Albert Camus et Jean Paul Sartre, qu’on connaît par l’existentialisme. De plus, pendant cette période, il y a eu un petit mouvement de littérature, qu’Emile Henriot a nommé le « Nouveau Roman », qui est une lutte contre les règles établies dans la littérature du passé. On peut le voir chez Alain Robbe-Grillet. Ce mouvement est en confrontation avec le réalisme qui était l’école principale de la deuxième moitié du XIXe siècle.
Le réalisme est donc l’école qui le point du départ du Nouveau Roman, puisque c’est une littérature opposée au Nouveau Roman. Le réalisme a apparu au milieu du XIXe siècle, avec la Révolution et le