le paradigme de complexité
En premier lieu et à ce niveau, se définit la relation ambivalente avec autrui, car ce n’est pas seulement la société qui est complexe mais aussi chaque atome du monde humain en tant que soi complexe.
La science avait avant un idéal tout à fait contraire, comme chez Descartes et newton qui essayaient de définir un univers qui est une machine déterministe parfaite. Newton expliquait le monde parfait à travers Dieu, alors que Laplace éliminait Dieu. Celui-là considère le monde comme étant une machine déterministe parfaite qui a une auto-satisfaction.
En second lieu, dans un essai de délimitation, Morin essaye de définir le paradigme de simplicité qui se décrit par deux concepts-clés qui sont la disjonction et la réduction.
La disjonction c’est séparer ce qui liée alors que la réduction unifie ce qui est divers. Par exemple, l’homme est biologique, culturel et métabiologique.
D’un côté, l’homme est ainsi étudié au niveau biologique dans le département biologique comme étant un être physiologique et anatomique. D’un autre côté, l’homme culturel est étudié dans le département de sciences humaines et sociales. Mais on ne peut pas nier le fait que l’un n’existe pas sans l’autre d’où la nécessité d’étudier le cerveau et