Paradigme : on peut le traduire par « modèle ». Cela vient de Mr Kunw qui sur le tard est devenu un historien des sciences voir un philosophe, il a proposé ce concept dans «De la Structure des Révolutions scientifiques ».
Quand on veut un recul, un esprit critique il faut avoir réfléchis à l’importance des mots. Notre vocabulaire n’est pas neutre, ça façonne notre façon de voir le monde.
Il s’est dit que dans le domaine de la recherche scientifique le premier domaine était les sciences de la nature. Il faut mathématiser le monde. Kuwn propose quelques concept pour expliquer ce qu’il met derrière ce concept.
Il y a des communautés disciplinaire, des gens qui sont dans la même discipline. Ces gens là, si ils ne se comprenaient pas entre eux, si ils ne faisaient pas les mêmes hypothèses….comment communiqueraient-ils?
Chaque communauté est obligé de partager les hypothèses de travail. Historiquement, on voit pour chaque communauté quelles sont les questions qui les avaient hanté, leur pertinence. Une fois qu’on pose la question on a aussi une petite idée de la direction vers où chercher la solution. La question va orienter la quête de réponse.
Quand on veut mesurer quelque chose dans un appareil de mesure on a déjà mesurer nos hypothèses.
Quand on veut mesurer les compétences d’un salarié il faut déjà avoir accepter le terme de « compétence ».
La science correspond aussi aux liens entre ce que l’on sait.
On construit le instruments de mesure qui ont un rapport avec les hypothèses qui ont-elles même un lien avec les questions posées au préalable. Quand la majorité reconnait qu’il faut aller dans ce sens là alors on investit dans les mêmes instruments.
Tant que les questions ne sont pas épuisés il reste des hypothèses à faire.
On part d’un investissement matériel ainsi que de toutes les connaissances. On va recruter des thésards. Une communauté disciplinaire va foncer dans le même sens et créer une réalité que l’on va retrouver dans le manuels scolaires.