Le parfum de patrick suskind (morales)
Introduction Dans l’épilogue de ce livre de Patrick SUSKIND, nous avons découvert 3 morales principales :
• L’importance de s’aimer soi même.
• L’importance de la persévérance pour atteindre ses buts.
• L’apparence nous rend aveugle envers la réalité.
Ainsi que quelques analyses supplémentaires.
1. Pour commencer, ce livre nous démontre l’importance de s’aimer soi même avant d’être aimé par les autres.
Tout d’abord, pour Grenouille, l’odeur est l’amour. « Il n’aimait pas la jeune fille rousse en elle-même : il aimait son parfum » (p.210). De plus, étant né sans odeur, il a été privé d’amour par tout le monde, dès son plus jeune âge avec sa nourrice Jeanne Bussie. Il cherche ainsi à se trouver une identité, une odeur afin de pouvoir se connaître, s’aimer et se sentir exister. Cependant, découvrant que son parfum idéal n’est que superficiel et malgré le fait qu’il est considéré comme un dieu aux yeux du monde, il n’éprouve plus d’intérêt pour la vie : il se fiche du monde, de lui-même, du parfum et veut mourir.
2. D’autre part, la seconde morale que nous pouvons trouver dans ce roman est l’importance de la persévérance pour atteindre ses buts et le fait que nous pouvons toujours changer les choses même si tout n’est pas de notre côté dès la naissance.
En effet, la page 263 et 264 justifie cette idée puisque « Jean Baptiste Grenouille est né à l’endroit le plus puant du monde, a grandi sans amour et vécu sans la chaleur d’une âme humaine, il est petit, bossu, boiteux, laid, tenu à l’écart, abominable à l’intérieur comme à l’extérieur », mais malgré cette vie, « il est parvenue à se rendre aimable aux yeux du monde. Il est aimé! Vénéré! Adoré ! » L’amour que les autres hommes reçoivent dès la naissance et dont il était le seul dépourvu, il l’a conquise grâce à se persévérance pour créer son parfum.
3. Pour finir, le fait que l’apparence nous rend aveugle envers la réalité est la troisième morale que nous