Le parfum
Grenouille était né sous un étale à poisson. Sa mère, poissonnière, comptait le laisser là et le moment venu s’en débarrasser comme si il faisait partie des restes de poissons qui l’entouraient. Mais le petit, par le plus grand des hasards se mis à pleurer, la mère fut arrêtée puis décapitée sur la place de Grève.
Il fut alors placé dans une église qui le baptisa, le nouveau-né devint alors Jean-Baptiste Grenouille, ensuite celle-ci lui trouva (après plusieurs essaie peu concluant) une nourrice. Mais celle-ci ne lui trouvant pas d’odeur, le rendit presque aussitôt en prétendant qu’il avait le diable en lui. Alors le moine Terrier, chargé de l’enfant, lui trouva un nouveau foyer afin d’éloigner le nourrisson à l’allure inquiétante le plus loin possible de l’église. Il lui trouva donc une place chez une nouvelle nourrice. Qui ne risquait pas de porter attention à l’enfant puisse qu’aucun de ses pensionnaires ne l’importaient réellement. Bien que vivante, elle était morte depuis l’enfance. Mais au bout de quelques années la dite nourrice se redu compte que Grenouille était quelque peu surnaturelle, elle en eu peur et le confia donc à un tanneur. Au bout d’un an là-bas Grenouille devint un employé très efficace. Et sa vie pris automatiquement plus de valeur aux yeux de son employeur, qui au départ n’y trouvait aucune importance. Celui-ci lui laissa même à l’âge de 13 ans, une heure de liberté une fois son travaille terminé. Il en profitait pour vagabonder dans les rues de Paris à la recherche de nouvelles odeurs. Un soir il se rendit à un feu d’artifice en l’honneur du roi. Il pensait en ce lieu découvrir de nouvelles odeurs. Mais le résultat le décevait. Il s’apprêtait à partir quand il fut interloqué par un parfum complètement différent de tous ceux qu’il avait pu sentir. Comme attiré par cette odeur embaumante, il se redu, guidé par son nez, à sa source. C’était une jeune fille dans une arrière cours. Grenouille l’étranglât, il ne voulait oublier