Géographie :

Présenter un cas où le partage de l’eau est générateur de conflits d’usage ou de tensions internationales.
Expliqur les causes qui sont à l’origine du conflit ou des tensions et exposer des solutions envisagées ou mises en œuvre pour sortir de cette situation.
Pour cet exposé j’ai pris le Traité des eaux de l’Indus entre l’Inde et le Pakistan.
Ce traité a été signé par les deux états en 1960, pour un paratge équitable du fleuve entre ces pays. Malgré de nombreuses frictions, aucune « guerre de l’eau » n’a éclatée jusqu’à aujourd’hui. Avant ce traité, les deux états produisaient du cachemire, et pour cela il leur fallait de l’eau, beaucoup d’eau. Sauf qu’il n’y en avait pas assez pour chacun d’eux. Depuis 1960, plus de 17 000 ha d’eau sont puisés au Panjab.
Les deux états voyant que rien ne va plus ont voulus se rebeller, mais pour éviter les conflits politique, ça a conduit à la signature du traité, signé le 1ier avril 1960, qui autorise à l’Inde l’utilisation exclusive des affluents orientaux de l’Indus comme le Ravi, le Beas et le Sutlej, alors que le Pakistan lui, tient celle des eaux des trois fleuves occidentaux comme l’Indus, le Jhelum et le Chenab. D’autres dispositions du traité permettent a l’Inde d’exploiter les terres situés le long des eaux d’amont des fleuves occidentaux, alors que le Pakistan bénéficiera, pendant une période transitoire, d’un volume minimum garanti d’eau à partir des fleuves orientaux. Cette répartition des eaux correspond, dans les grandes lignes, à une proposition antérieure de l’Inde qui avait cependant été déclinée par le Pakistan, étant donné que ce pays réclamait pour lui seul le droit naturel sur tous les affluents du Panjab. En outre, le Pakistan n’était pas, initialement, enclin à reconnaitre par un traité la nouvelle situation de fait créée par les aménagements hydrauliques réalisés par l’Inde. L’accord du Pakistan a été obtenu grâce à « l’Indus Basin Development Fund Agreement », qui signifie le