Les auteurs qui écrivent de l’horreur qui nous fascine et nous hantent mêlent fréquement de jeunes enfants à des situations effrayantes. Dans le cadre de la lecture de ce roman, nous dénotons l’application d’un thème strident , c’est-à-dire l’idéologie de l’enfant vient ébranler nos théories. La première fois qu’Étienne aborde le thème de l’enfance est lors de son premier cours où il analyse la nouvelle de Saki qui l’a ébranlé de même que les élèves de sa classe. Ainsi, il aborde premièrement, que bouleversé nos valeurs fondamentales est un moyen éfficace d’engendrer de l’incertitude nous plonger dnas l’incconnu et créer l’horreur. D’autant plus, le lien qu’il fait avec la nouvelle est le fait que les valeurs mises à épreuve sont celles que nous nous faisons de l’enfance, c’est-à-dire la pureté de l’innocence.On ne peut se soumettre à croire que les enfants puissent être responsables volontairement de telles atrocités atrocités. Toutefois, dans cette histoire c’est justement le contraire qui s’y passe, combiné à son amnésie qui houe avec son subconscient. Par la suite, lors d’une conversation entrepeirse avec son compagnon Alex , ce dernier affirm que nous nous faisons d’un enfant une forme d’idéal pure avant la corruption de l’âge adulte. Les enfants sont curieux de nature et sont prêts à aller loin pour satisfaire cette curiosité du mal.
Désormais légèrement boulversé mais tout de même curieux, Étienne tend l’oreille alors qu’alex continue de plus belle ; Les parents quant à eux , sont ceux qui empêchent justement les enfants de faire des bêtises en leur disant que s’est mal de cette façon les parents éveillent la curiosité de leurs enfants. Alors, ils essayent les choses interdites pour voir ce qui est mal. C’est là qu’ils peuvent devenir cruels en faisant leurs petites expériences qui s’arrêtent heureusement souvent aux démembrements d’une mouche ou d’une araignée. Les parents finissent par les arrêtés en découvrant leurs jeux et les encadre mieux ainsi