Le pere de nos peres
Travail présenté par Nyle Alexander
Dans le cadre
Du cours
Lecture et analyse (601-ESB)
Groupe : 18
Pour
M. Richard Crépeau
Collège Montmorency
Le 14 décembre 2009
Depuis le début des temps, la race humaine recherche ses racines avec l’élaboration de plusieurs théories scientifiques. Nous pouvons retrouver des théories provenant de paléontologues, archéologues, astronomes, chirurgiens et ainsi de suite. Dans le roman Le père de nos pères, l’auteur, Bernard Werber, tente de nous expliquer les origines de l’humanité avec divers théories. Nous allons analyser et expliquer deux théories positives et deux théories négatives. C'est-à-dire, les théories positifs ont engendré des conséquences favorables à la race humaine et, avec ces conséquences, ont amélioré notre espèce, les théories négatives, eux, ont provoqué des contrecoups défavorables à notre espèce et qu’ils ont été soumis à une mutation.
En premier lieu, nous allons commencer à analyser la théorie du transformisme qui a été élaborée par Solange Van Lisbeth. On peut retrouver sa théorie entre les pages 130 et 142 du livre. Sa théorie est bien simple, Solange Van Lisbeth dit que les espèces s’adaptent à leur milieu lorsqu’un élément perturbateur quelconque vient modifier leur mode de vie. En autres mots, les espèces évoluent avec le temps. Aussi, ce qui est vraiment de sa théorie c’est que l’embryon humain passe à travers tous les étapes de l’évolution humaine, qui a duré des millions d’années, dans l’espace de neuf mois. Cette théorie est un processus positif car, si les animaux n’auraient pas évolué avec le temps, bien ils seraient tous morts. C’est aussi simple que sa.
Deuxièmement, l’ingénieure Éluant avait une théorie relativement captivante. Il dit que nos ancêtres étaient des singes arboricoles et avec le tremblement de terre dans la vallée du Rift, qui a engendré une sécheresse, les singes ont du changer d’alimentation. Et c’est à ce moment