Le pinceau charmant
Le pinceau charmant est le titre d’un vieux film en couleur. C’est à-propos d’Alphonse Lebrun qui est très doué en art. Il est un sculpteur et peintre fameux au Canada. Ce film est même très bon pour les standards canadiens; on l’a primé plusieurs fois. Le producteur, Steven Steinburg, est un homme important en Hollywood; ceci a sans doute influencé le jury de critique qui a remit les prix. On peut critiquer Le pinceau charmant sur l’originalité de l’histoire, la beauté de l’art et le montage. Le pinceau charmant est l’histoire d’un artiste inconnu qui déménage à Toronto pour être découvert. Pour de l’argent à poche, il travail dans l’atelier d’un peintre déjà fameux. Alphonse doit nettoyer l’atelier, planifier les expositions et vernissages de son patron et il doit même faire la restauration des œuvres qui n’ont pas encore été vendus. Des fois, l’artiste demande de l’aide sur ses ébauches, mais il n’écoute jamais les idées qu’a Alphonse. Alphonse sait qu’il a un assez bon travail, mais il ne le prend pas au sérieux parce qu’il ne veut rien d’autre que faire de la peinture. Son emploi ne paye pas assez pour vivre confortablement, ainsi il travail comme modèle qui pose pour les étudiants d’art. C’est là qu’il tombe amoureux de l’enseignante qui s’appelle Joanne. Il la dit qu’il veut devenir un peintre fameux comme son patron. Elle l’encourage à peindre une aquarelle, parce qu’elle enseigne une classe sur utilisation de la peinture à l’eau. Avec son aide, Alphonse réussit à finir un tableau, il le cache dans le fond de l’atelier de son patron sur un vieux chevalet. Cependant, son patron a trouvé l’œuvre, et sans rien dire il l’a mit comme l’attraction centrale dans son exposition. Finalement, le monde découvre Alphonse, et tous dans la galerie d’art sont captivé par sa beauté. Les œuvres dans le film sont extraordinaires. L’esthétique est très frappante : les couleurs vives de l’encre et de la peinture, les lignes précises,