Le plaisir de lire au maroc, entre la renonciation et le malentendu
Prénom : Mmed
N° d’inscription : 480
Filière : Etudes françaises 1er semestre
Année universitaire 2010/2011
Le plaisir de lire au Maroc, entre la renonciation et le malentendu.
Résumé : Limitée, en matières de temps, de techniques et de méthodologie, cette étude ne prétend pas débattre la question de la lecture au Maroc comme recherche proprement dite, mais il compte voir l’acte de lire chez les jeunes marocains selon qu’il soit plaisir ou contrainte ? Distraction ou utilité ? Habitude ou occasion ? Et pour ce faire, je me suis contenté de consulter des recherches, des sites, des forums, ainsi que quelques chapitres de quotidiens marocains traitant de la matière. J’ai aussi (dans la mesure du possible) chercher la réponse à la question « Pourquoi les marocains ne lisent pas ? » auprès de quelques intellectuels marocains. Et ce dans le but d’essayer de mesurer d’abord ; la relation entre le plaisir de lire et la culture de la lecture, d’examiner le secteur du livre au Maroc, et d’envisager par la suite le rôle de l’école dans la conception de ce rapport dés le plus jeune âge. En conclusion, je constate que le mot crise est déjà utilisé pour qualifier la situation de la lecture au Maroc, et que tous les secteurs intervenants doivent se mobiliser pour faire face à ce phénomène menaçant de décadence culturelle.
Sommaire :
Introduction
Etat de la question de lecture au Maroc ; Les traits de la crise
1- Les Marocains lisent peu ou pas
2- L’Edition n’est pas digne d’un pays comme le Maroc
3- Les auteurs et les écrivains souffrent
4- Le Maroc comparé au pays Arabes : (Etude panarabe)
5- Faiblesse du moyen d’achat et problèmes en distribution et en qualité.
La culture et la lecture au Maroc.
1- La bibliothèque publique : Un usage limité et peu fonctionnel.
2- La bibliothèque privée. Usage esthétique.
3- Les tendances orales du patrimoine national.
4- La lecture à l’école marocaine.
Echos : Pourquoi les Marocains