INTRODUCTION : De son vrai nom Wilhelm Apollinaris de Kostrowitsky, est poète critique du XIXème siècle. Sa vie est marquée du signe de l’aventure, du voyage et d’une sensibilité particulière à ce que monde offre de nouveau. Influencé par les peintres cubistes de son époque il publi les Caligrammes et des poèmes inspirés par de nouvelles amours. Blessé et réformé, il s’emploi à Paris à promouvoir un « esprit nouveau » dans l’art mais meurt peu de temps après. Le recueil Alcools marque sa consécration et annonce la quête de modernité, qui se veut expérimentale. Il montre sa déchirure sentimentale par une rupture amoureuse. Inspiré par Cendras. « Le Pont de Mirabeau » est un poème en vers libres. Inspiré par sa rupture de la liaison qu’il eu avec Marie Laurencin. « Le Pont Maribeau » se lit comme le constat d’un échec : Celui de l’homme qui tente de lutter contre ses déceptions amoureuses. Comment l’auteur fait-il le lien entre sa nostalgie amoureuse et le pont grâce à la forme du poème ? AXE 1 : • Un pont rappelant la modernité - Pont récent (moderne) = poème (moderne) - Aucune métrique traditionnelle ← Modernité • Un poème d’une forme moderne qui créer une fluidité - Absence de ponctuation favorise la fluidité du poème et son ambiguïté en multipliant les sens possibles. - Absence de rimes ← Fluidité

AXE 2 : • Ce qui renforce l’éternité - Le pont est immuable, solide, inébranlable à l’opposé de son amour perdu. - Le temps passe dans le rythme de l’eau qui coule et, comme, elle, , il ne revient pas ainsi que l’amour heureux. - L’ensemble est composé comme une chanson avec son refrain sur l’amour malheureux et la fuite du temps. ← L’amour coule comme le temps • Le temps, la comparaison de l’eau - Premier et dernier vers sont identiques = ils forment une boucle - Refrain qui se répète après chaque strophe et