Le portrait de madame vauquer, «le père goriot », balzac
I. Le portrait physique et le caractere : realisme et ironie
A. Traits de caractère
Le narrateur présente Mme Vauquer comme une personne pauvre. En effet, elle possède « des faux cheveux », ainsi qu’ « un bonnet de tulle » (l.5), qui est une dentelle peu coûteuse.
Ce personnage parait lassé de la vie, se laissant aller : « Elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées », « attifée d’un bonnet ridicule sous lequel prend un tour de faux cheveux mal mis », « sa première jupe est fait avec une veille robe, et dont les ouates s’échappent par les fentes de l’étoffes lézardés ». De plus, elle est décrite comme « grassouillette », « ses mains potelés », s personne dodue comme un rat d’église ».
Elle parait vide d’énergie s'opposant à la vivacité du chat : « saute sur les buffets »
L’avarie de ce personnage apparait à travers ses pantoufles : « les pantoufles grimacées » .
L’univers dans lequel elle vit est malsain. En effet, le narrateur la compare à un « un rat d'église ». Or, cet animal évoque les lieux malpropres, un animal répugnant. Cela a donc une connotation négative et péjorative sur le décor où elle vit.
Elle est comparée à Cadoudal et à Pichegru : « à livrer Georges ou Pichegru » est faite. Or ces derniers ont comploté contre Napoléon 1er et furent arrêtés en 1804. Ainsi le narrateur laisse paraitre que Mme Vauquer est indigne de confiance. De plus, il est dit : « Elle a l’œil vitreux, l’air