le procureur
1.1 Pour débuter, la Justice internationale a pris beaucoup d’ampleur à travers le temps et selon moi, elle ne cessera d’en prendre.
En 1872 le droit international humanitaire est né. En 1945, c’était la création du tribunal militaire international de Nuremberg et aussi du Tribunal de Tokyo qui jugeront maintenant les principaux responsables allemands et japonais. En 1993 et en 1994 le conseil de sécurité des Nations Unies a créé les tribunaux ad hoc pour l’ex-Yougoslavie et les Rwanda. Ceci démontre donc que des procédures pénales internationales sont maintenant possibles. En 2002, c’est l’arrivée de la cour pénale internationale.
La Cour pénale internationale est un tribunal éternel qui est chargé de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité, de crime d'agression et de crime de guerre.
Selon moi, «la fin de l’impunité» serait plus un crime contre l’humanité. Parce que, selon moi, lorsqu’il y a un crime, on ne peut pas se fier à la religion ou aux croyances de la personne. Si un crime a été fait, c’est criminel et je pense que si on se fiait à l’histoire de chaque personne sur chaque crime qui est fait, ce serait bien trop long et complexe. Je pense qu’un crime ne peut tout simplement pas être délibérée ou pardonner en fonction des droits fondamentaux d’un individu.
Le terme néocolonialisme signifie de garder une continuité historique dans la transition des colonies aux nations qui sont officiellement indépendantes mais aussi aux méthodes qui ne sont pas plus digne que le colonialisme.
-Premièrement, la cour pénale internationale ne peut agir que dans quatre catégories de crimes : les crimes contre l’humanité, les génocides, les crimes de guerre et ceux d’agression.
- Deuxièmement, elle peut seulement intervenir si le crime a été commis sur le territoire d’un État qui a signé la convention ou si le cas est un citoyen de l’un de ces États.