Le Radeau de la Méduse est un tableau peint par Théodore Géricault qui fait parti du romantisme. Il peint se tableau en paysage en 1819 une huile sur toile de 4m91 sur 7m16 conservée au musée du Louvre à paris. Ce tableau est un plan général dont l’angle de prise de vue est normal. Cette scène concrète nous montre une vingtaine de personnages sur le radeau. L’auteur utilise les couleurs chaude et froide qui donnent l’impression du clair-obscur. Le jaune pâle de ce coucher de soleil, déclinant presque dans les verts une atmosphère où la mort est présente. Une forte lueur perce les nuages, pour un fond du tableau très clair, contrastant avec le reste du tableau très sombre. Des hommes uniquement, sont représentés sur un radeau en pleine mer.
Au premier plan certains d'entre eux, semblent morts, d'autres sont assis et d'autres sont debout. Le radeau est équipé d'un mât et d'une voile gonflée par le vent. Nous pouvons voir à gauche les personnes décourager tandis qu’a droit des personnes courageux donc un contre-mouvement qui équilibre les forces entre espoir et désespoir. Nous pouvons voir aussi le personnage près du mât, tendant le bras vers l'horizon et dont la tête est tournée vers ses compagnons d'infortune, laissant envisager un dénouement heureux.
Au deuxième plan la mer est déchaînée, de grosses vagues semblent vouloir s'abattre sur l'embarcation alors au loin, sur l'horizon un point presque imperceptible montre l’espoir. La lumière du soleil perce les nuages ténébreux pour éclairer l’horizon.
La composition pyramidale est très présente ici et s’associe parfaitement à l’organisation du tableau: une pyramide large englobant quasiment tout le radeau, une deuxième plus petite en bas à gauche qui montre le désespoir et une troisième plus large sur la droite qui montre l’espoir.
En effet, ce tableau repose sur des événements historiques réels : En 1816, la Méduse s'échoue l'équipage ne parvint pas à dégager le bateau. Les chaloupes sont en nombre insuffisant.