Le rapport vertical dans les interactions verbales
Interactions Verbales (A. Croll)
Dossier de Validation :
Compte rendu sur un type d’interaction verbale
Sujet : Les relations verticales dans ou hiérarchique dans l’interaction
*1ère partie : Analyse Bibliographique
*2ème partie : Analyse pratique d’un extrait vidéo
1ère partie :
Etude du chapitre « Relations verticale : système des places » de l’œuvre Les interactions verbales de Catherine Kerbrat-Orecchioni
Beaucoup de termes tels que « Autorité », « rang » ou « dominance » renvoient à l’idée que dans une interaction les différents protagonistes possèdent des places différentes le long d’un axe verticale qui structure les différentes relations. Il y a deux types de places : la position haute qui symbolise la domination et la position basse qui renvoie à la soumission.
Mais ces places sont graduelles ; tout comme dans les relations horizontales mais ici elles sont, à l’inverse dissymétriques. Et cette inégalité se créé par l’utilisation d’éléments qui insistent sur cette hiérarchie comme peut l’être l’utilisation à sens unique du « tu » et du « vous » (marque de respect pour le « vous »)
Ce rapport dépend de différents facteurs, aussi bien internes qu’externes. Il existe tout d’abord un certain nombre d’interactions « inégalitaires » de par leurs contextes, comme le rapport maître/élève ou adulte/enfant qui montre que ces rapports dépendent de facteurs contextuels tel que l’âge, le sexe ou encore le statut voir des caractères plus personnels tel que le talent oratoire, charisme etc … Mais il ne faut pas oublier que tout peut changer en cours de conversation grâce aux négociations permanentes entre les inters actants. Comme on peut le voir lorsque le « dominé » tente une résistance face au « dominant » par divers moyens comme un regard, un geste ou une parole qui se veut offensante (une gestuelle particulière, l’utilisation de l’ironie …). Mais si il existe des interactions dites