Dans la 1er moitié du XIXé siècle, un nouveau mouvement artistique touche tous les genres, le romantisme. Il évoque les sentiments personnelles des personnages traduit par la nature très présente. Les textes étudiés sont des textes du romantisme, "Une rêverie délicieuse" récit de Rousseau," Le Vallon" poème de Lamartine et "Deux années de délire" récit de Chateaubriand sont trois textes qui parlent de l'opposition entre la stabilité de la nature avec l’instabilité de l’homme. Tandis que le récit de Eugene Fromentin "Une mémoire spéciale " parle de son amour pour la nature dés son enfance. Nous allons d'abord montrer quelles sont les principales caractéristiques des paysages évoqués dans les textes de Rousseau Chateaubriand et Lamartine ainsi Que les rapports qui s'établissent entre le moi et ces lieux, puis nous allons étudiez quel portrait du "moi" se dégage des textes de Fromentin et Chateaubriand. Pour répondre à cette première question nous allons décrire les sentiments du "moi" qui traduit enfaite les sentiments de ces 3 auteurs : xxxx xxxx Tout d'abord dans le texte de Rousseau , il caractérise la nature comme étant vivante, pleine de sentiments : " le bruit des vagues et l'agitation de l'eau"l.3, "le flux et le reflux de cette eau". Et comme étant un lieu d'isolement :" asile caché" l.2-3. Le paysage qu'il caractérise comme un cadre d'isolement et un lieu vivant engendre de la rêverie : "toute autre agitation la plongeait dans une rêverie délicieuse" l-4.5 " aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi " l-7.8. Tandis que Chateaubriand lui caractérise la nature grandiose, magnifique : " la splendeur de la terre" l10, " la cime dorée des bois". Cependant il exprime un sentiment de tristesse lorsque la nuit tombe, faisant perdre à la nature toute sa splendeur. " Le vent du soir qui braisait les reseaux tendus par l'insecte (...) me rappelaient à la réalité" l.14-16. Le champ lexical du désespoir atteste du sentiment de tristesse de