Étape 1 : Plan du développement

Thèse : Oui, dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.

Argument principal 1

Argument 1 : Le nomadisme est représenté comme un gage de liberté et de connaissances multiples.

• Sous-argument 1.1 : Étant libre, le Survenant s’arrête où bon lui semble et quand bon lui semble.

• Sous-argument 1.2 : La découverte de nouveaux horizons est perçue comme la raison de vivre du Survenant.

• Sous-argument 1.3 : Les nombreux voyages du Survenant ont fait de lui un homme à tout faire, bourré de connaissances.

Argument principal 2

Argument 2 : Les habitants du Chenal du Moine sont conquis par le Survenant nomade, qui apporte bonheur dans leur vie.

• Sous-argument 2.1 : Le Père Didace, suite à sa rencontre avec le Survenant, ne jure que par lui. Il croit qu’il a toujours raison, ce qui l’incite à prendre des risques en quittant sa petite vie sédentaire pour vivre une nouvelle expérience avec l’Acayenne.

• Sous-argument 2.2 : Joinville pleure a chaudes larmes en entendant les histoires du Survenant.

• Sous-argument 2.3 : Angelina trouve l’amour avec le Survenant.

Étape 2 : Rédaction

Dans le roman Le Survenant, il est juste d’affirmer que le bonheur réside dans le mode de vie nomade, ce dernier étant représenté comme un symbole de liberté et une exposition à de connaissances nouvelles. En effet, le personnage principal, le Survenant, incarne l’être humain entièrement indépendant, libre de toute responsabilité ou de quelconque attachement. L’insouciance de ce personnage se traduit dès les premières lignes du roman, lorsque Germaine Guèvremont écrit que : « Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger.» (p.19). Le Grand-Dieu-des-routes, homme simpliste ayant le bonheur dans la peau et vivant au rythme