Le travail selon marx
Marx est le créateur d’une philosophie dite « matérialiste », qui est une théorie selon laquelle la matière est la seule réalité existante, ou elle serait la base fondamentale de la vie spirituelle ; aujourd’hui il peut y avoir une connotation péjorative, en sous entendant que l’on cherche à expliquer le supérieur (l’esprit) par l’inférieur (le corps, la matière).
Il revient donc sur les fondamentaux de « ce qu’est le travail » en particulier dans un ouvrage appelé Le Capital ecrit en 186. C’est donc une réflexion première sur le travail ; il y différencie le travail, propre à l’homme, et l’activité animale, qui bien que proche du travail n’en est pas. le paradoxe de la division du travail : La division du travail, positive à l’origine ( témoignant d’un partage des savoirs faire en vue d’un échange équitable des biens ), devient alienante en aboutissant à une parcellisation des tâches ainsi qu’à une division entre les classes sociales : on ne divise plus le travail pour l’humaniser en permettant à chacun d’exceller dans le domaine qui lui est propre, mais permettre a certains hommes d’en exploiter d’autres.
La dépossession de soi-même : le développement des machines, plus rapides et automatisées, engendrent, une dégradation des conditions de travail, comme le dénonce marx au 19 eme siecle : l’ouvrier de peut plus s’humaniser, ni dans son travaille, ni ailleurs ….