Dissertation Français Calamia, Matteo, 1g1Sujet : « Dernière œuvre de Molière, composé à la veille de sa mort en 1673, Le Maladie Imaginaire s’impose souvent comme la plus extraordinaire, la plus complète et la plus aboutie de toutes les comédies du dramaturge ». Comment cette citation éclaire-t-elle votre lecture du Malade Imaginaire de Molière ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé, en prenant appui sur votre étude de l’œuvre au programme, sur les extraits analysés dans …afficher plus de contenu…

Effectivement l’œuvre est composé de plusieurs styles de comique que nous pouvons repérer assez facilement, par exemple nous pouvons remarquer un comique de mot dans la toute première scène quand Argan parle en monologue et qu’il répète une dizaine de fois le mot « Drelin ! ». La répétition du mot et le fait qu’il parle tout seul existe juste pour faire rire le spectateur. Et cela rejoint un comique de caractère car on voit l’impatience du personnage. Afin de prendre un deuxième exemple nous pouvons prouver la présence d’un comique de caractère avec le comportement de Toinette qui s’amuse à enrager son maitre dans les premières scènes. On en conclue donc …afficher plus de contenu…

D’abord, cette œuvre émet une critique sur deux sujets principaux : La médecine et l’argent. Effectivement il y a une satire de la médecine très présente dans l’œuvre on peut la voir à plusieurs reprises notamment quand Toinette se travestit en médecin, la critique est implicite mais signifie beaucoup de choses, Molière critique les médecins de la vraie vie car étant souffrant quand il écrit l’œuvre il voit que les médecin ne sont que des arnaqueurs et il le fait ressentir dans le texte quand les médecins d’Argan lui donne des médicaments pour tout et pour rien et qui bien évidemment ne sont pas gratuit ce qui nous en mène à notre deuxième thème l’argent, Molière critique aussi le rapport de l’homme à l’argent ainsi que l’hypocrisie sociale, via le biais de son propre personnage car Argan est un homme assez riche prêt à dépenser beaucoup