Le soleil, rimbaud
(Alchimie)1er huitain (octain) : Les deux premiers vers nous proposent donc un paysage, « vieux faubourg » (1857-quartier parisien qui est dégradé et pauvre). On s’aperçoit dans les deux mots à la rime « masures » et « luxures », Baudelaire exprime la dégradation, c’est-à-dire la pauvreté « masures » et la débauche « la luxures ». Qui montre que la ville est semblable a la boue symbolique dont parle Baudelaire. Au vers trois il y a donc l’ouverture d’un cycle naturel puisque on assiste par un indicateur ou un dectique de temps quand on assiste au lever du soleil mais un soleil personnifier puisqu’on lui attribue l’attribut adjectif épithète « cruel » et évidemment aussi par le verbe « frapper » il a une …afficher plus de contenu…
C’est donc là un texte en définitif qui est lyrique puisque on a un poète qui marque sa présence par un « je ». L’aube est le moment du début de l’exercice de l’écriture et l’image qui est donné « fantasque escrime » c’est qu’en définitive la poésie est un combat, une joute technique qui demande du travail et de la pénibilité. Vers 6-> assimile le poète à un chien ou a un animal « flairant » qui est en quête : le poète est en quête de perfection. Vers 7-> pénibilité = hasard = difficulté de l’écriture « trébuchant » -gérondif ou un participe présent qui a une valeur intemporelle- il y a une permanence de la difficulté. Comparaison qui entraine un zeugma. Il y a un zeugma qui allie en définitive un terme abstrait « les mots » et un terme concret « les paves », qui permet de relié l’univers poétique à l’univers urbain de la