Lecture analytique, cyrano de bergerac, découverte des sélénites.
Problématique : Comment l’utopie permet de mettre e évidence la réflexion sur l’Autre ?
Présentation :
Le premier pas sur la Lune était en 1969 alors que le texte a été écrit en 1649.
Création d’un récit fantastique qui raconte les rencontres avec les gens de la Lune.
Récit de voyage. S’inspire des récits des croisades.
XVIIème siècle : Classicisme.
Genre protéiforme.
Citation : « Tout ce qui est Antique est beau. »
Aspects de la littérature repris :
Figure du Narrateur :
Son héroïsme : En effet, il arrive seul dans l’inconnu. « Je restais bien surpris de me voir tout seul au milieu d’un pays que je ne connaissais point. »
Drame du voyage.
Apparence neutre : Utilise première personne. Un regard distancié de l’auteur dans un monde utopique garantie une sorte de crédibilité.
L’image du nouveau monde donnée par l’auteur : Pour l’auteur, ce nouveau monde est une merveille. Il décrit tout en détails : Pour lui, la Lune n’est pas peuplé de monstres mais plutôt de « bête-homme » et de personnes «qui avaient la taille et le visage comme nous ».
Ses réactions :
L’auteur est d’abord surpris (lexique de l’étonnement : « Je restais bien surpris » ; « je fus étonnée ») (hyperbole : « Plus que set ou huit cents. »)
Surpris car découvre un nouveau monde, nouvelle terre.
Champ lexical du regard : Observe beaucoup.
Diversité des cultures.
Jeux de symétrie :
Un jeu de symétrie s’instaure entre les regards et les sentiments.
Jeu du miroir : le narrateur pense que les Sélénites sont des animaux, mais il est lui-même pris pour un animal.
La différence perturbe les repères et balaie les certitudes.
Dimension satirique :
Renversement des perspectives : Il aboutit à la critique ethnocentrisme « La Lune est un monde comme celui-ci, à qui nous sert de Lune. »
Relativisme.
Prend les Sélénites comme des monstres mais par le regard : C’est lui le