Les apports du judaisme du christianisme et de l'islam
Les 3 monothéismes : judaïsme, christianisme, islam. Traces antérieures : réforme religieuse égyptienne d’Akhenaton (XIV av JC) et réflexion philo sur le divin conduit platonisme et stoïcisme vers un certain monot qui favorisera l’hellénisation du christianisme.
Spécificité et paradoxe chrétiens : issu du judaïsme, christia reçoit le monot comme une évidence. Affirme une transcendance présente à l’hist du monde par existence d’un Sauveur, le Christ, à la fois réellement Dieu réellement homme. Reprend intuition juive d’un Dieu libérateur de l’h et l’universalisant, se trouve affronté paradoxes d’une transcendance à visage humain, humanité de Dieu. Pas maintien de l’interdit des représentations du divin.
RELIGIONS REVELEES.
Judaïsme : religion de l’élection, Dieu choisit homme, Abraham. Choix de Moise manifeste la fidélité de Dieu à sa promesse. -> Conclue Alliance avec le peuple, qui s’engage à la loi de sainteté, la Torah, comportant Dix Commandements.
Après chute politique du royaume d’Israël (687 av JC pour Juda) et exil (déportation à Babylone) réflexion sur la promesse faite à Israël et salut des nations se fait + pressente.
Christianisme émerge comme l’un des courants juifs du 1er siècle, vivant dans attente de la venue imminente d’un Messie. Mais Jesus est Messie attendu se heurte au rejet des Juifs.
L’APPARTENANCE RELIGIEUSE ET LE CULTE
Les 5 piliers de l’islam :
-La confession de foi ou chahada
-La prière
-Le jeûne du mois de Ramadan
-Le pèlerinage à La Mecque , hadj
-L’aumône légale ou zakât
LA DISTINCTION SPIRITUEL TEMPOREL : DEUX CITES
Dans cité antique, définie par Fustel de Coulanges au XIX, salut était surtout respect de l’ordre civique, lié à la romanité. Morale et religion liées à la politique. Or, chrétiens refusèrent de diviniser l’empereur. Distinguent Dieu et César, la destinée de l’âme et les affaires de ce monde. Le seul vrai