les approches de l'entrepreneuriat
Deux réponses sont possibles :
La première est qu’il a besoin des autres parce que son projet nécessite trop de capitaux : c’est l’approche économique ou instrumentale.
La seconde est qu’il manque de confiance en lui oui qu’il a simplement besoin des autres pour que se lancer :c’est l’approche sociale ou relationnelle.
1. L’approche économique :
Selon cette approche, les équipes sont constituées uniquement pour des motifs économiques. L’entrepreneur serait un être libre, qui créé pour être son propre patron, et donc d’une certaine façon pour lever toutes les contraintes qui pesaient sur lui lorsqu’il était employé ou dépendant d’un système (Steve jobs, par exemple, était réputé pour son besoin d’indépendance, et sa volanté de tout contrôler). Deux sous-logiques coexistent dans cette approche : le besoin en ressource et le besoin en compétences. Il y a d’abord une logique cumulative dans la constitution d’une équipe entrepreneuriale : constituer un capital suffisant par rapport aux besoin induit par le projet. L’autre logique est liée à la recherche d’une complémentarité : certains projets nécessitent des compétences variées .L’avantage de cette approche est qu’elle assume la dimension économique de l’acte d’entreprendre. Les contraintes qui pèsent un moment donné sur le ou les membres de l’équipe incitent à la constitution d’une équipe plus étouffée.
2. L’approche sociale ou relationnelle :
Cette approche repose sur l’idée qu’un certain nombre de projet sont construits sur base de liens fort (les amis, les familles, les collègues proches par exemple) .Dans l’approche sociale, ce sont les liens forts qui sont finalement le moteur de l’économie. Si on ne valorise pas les initiatives familiales ou ethniques par exemple, on freine l’économie ou on génère une, souterraine. Théoriquement, les liens forts génèrent moins d’opportunisme que les liens faibles. Il y aurait