les banlieux
Par rapport a ce sujet on étudiera deux articles, le premier c’est « Marques et banlieues, des liaisons dangereuses » écrit par Sophie Peters dans le quotidienne Les Échos ; le deuxième c’est « Dis-moi ce que tu consommes, je te dirai qui tu es » écrit pour Nicolas Riou et publié dans le journal Libération ; et finalement, un sondage réalisé pour l’enquêtrice Louis-Harris sur « La perception globale de la société de consommation » aussi publié dans Libération.
A travers de ces trois analyses on essayera de comprendre les motivations réels pour acheter un objet. Puis, on observera ces motivations dans la société, le cas des banlieues où le désespoir pour consommer s’entrelace avec la pression social. Finalement on verra la critique que fait la société sur le sujet, de plus de quelques solutions.
Une motivation pour consommer est décrit par le journaliste Nicolas Riou qui précise que les objets qu’on consomme ont une nouvelle devoir, la de soutenir notre identité. Riou signale que les marques qu’on porte réfléchissent ce qu’on est, plutôt la façon comment on voudrait être vu, être identifié. Par rapport à cette première cause, dans l’article de Sophie Peters se trouve l’analyse qui fait le philosophe Bernard Stiegler sur la situation qui se vit dans les banlieues.
Stiegler explique que les habitants de cette structure urbanistique vivent a travers des marques, malgré ne pas avoir les moyens. Ils sont bombardés pour la publicité -une autre problématique qui est bien perçue pour la société dans le sondage de Louis-Harris, la publicité omniprésente dans la vie quotidienne-. La pression pour consommer révèle un but, cesser d’être les exclus et trouver leur place. Peters et Riou partagent et mettent en relief cette idée de que les marques compensent l’absence de reconnaissance social et font office de soutien de