A comme Autobiographie : Le poète puise dans ses souvenirs personnels pour nourrir son œuvre de références plus ou moins implicites.

B comme Bonaparte : Victor Hugo reproche à Napoléon III de s’identifier avec son oncle Napoléon Ier, sans pouvoir jamais l’égaler.

C comme Châtiment : Victor Hugo rédige son œuvre pour montrer son désaccord avec la politique de Napoléon III après le coup d’Etat de ce dernier.

D comme Décembre : Dans la nuit du 2 au 3 décembre 1851, Napoléon III et ses soldats organisent un coup d’Etat extrêmement violent, ce qui pousse le poète à s’exiler.

E comme Engagement : Victor Hugo considère qu’un vrai poète doit s’engager dans les combats de son siècle.

F comme France : Le poète passera plus de dix-huit années hors de sa patrie, et la France devient un personnage à part entière dans ses écrits.

G comme Guerre : Dans l’esprit de Victor Hugo, Napoléon III fait la guerre au peuple français.

H comme Horreur : L’une des principales caractéristiques du régime combattu par le poète reste sa violence insoutenable.

I comme Institution : le poète estime que les institutions n’ont pas joué leur rôle pour s’opposer plus activement à Napoléon III.

J comme Jersey : Le poète s’exile sur l’ile de Jersey suite au coup d’Etat.

K comme Kaléidoscope : Le poète rapproche le coup d’Etat de 1851 d’autres dates tragiques qui ont marqué l’histoire humaine, en comparant notamment Napoléon III au romain Sylla.

L comme Liberté : Victor Hugo définie la liberté comme une valeur absolue de la société républicaine.

M comme Montmartre : le poète a le souci de rappeler tous les faits historiques tels qu’ils se sont vraiment déroulés.

N comme Nuit : Le thème de la nuit renvoie à l’obscurantisme politique des nouveaux dirigeants de la France entre 1851 et 1870.

O comme Orgueil : Victor Hugo combat les passions humaines qui expliquent l’attitude de Napoléon III mais aussi de chacun de nous.

P comme Pain : La motivation de Victor Hugo