Les cinq-cents millions de la begum
I) Le docteur Sarrasin (description p.7-8), est un savant français. Un homme, nommé William Henry Sharp, vient lui apprendre qu’il est le seul descendant de Jean-Jacques Langévol et qu’il hérite donc des cinq-cents millions de la Bégum, ce qui est une somme colossale. II) Le docteur Sarrasin écrit aussitôt une lettre à son fils, Octave (description p.21). En apprenant cette nouvelle, Octave est abasourdi. Son ami, Marcel (description p.22) reste quand à lui très calme. Octave va ensuite apprendre la nouvelle à sa mère, Mme Sarrasin (description p.33) et à sa sœur. III) Lorsque le docteur Sarrasin arrive au Congrès d’Hygiène, il est étrangement très bien accueilli. Il apprend que la nouvelle a été publié dans le journal. Il prend donc la parole et propose de faire une cité modèle sur des données rigoureusement scientifiques ; il souhaite la nommer France-Ville. Cette nouvelle idée est également publiée dans les différents journaux et arrive en Allemagne, entre les mains de Herr Schultze (description p.45). Celui-ci trouve que le nom Langévol lui est familier. Il ne s’était pas trompé et découvre, derrière un portrait chez lui : Thérèse Schultze née Langévol. Le professeur part immédiatement pour Londres. IV) Le 6 Novembre, à sept heures du matin, Le professeur Schultze arrive à la gare de Charing-Cross, et se rend ensuite rue Southampton row. Là-bas, il explique ce qu’il l’amène à Mr. Sharp (p.50). Mr. Sharp apprend ensuite la nouvelle au docteur Sarrasin. Le professeur Schultze et le docteur Sarrasin se partagent l’héritage. Normalement, tout l’héritage devait revenir à Herr Schultze. V) Le professeur Schultze a fait construire la Cité de l’Acier, soit Stahlstadt aux Etats-Unis, dans le sud de l’Oregon entre des montagnes. Elle emploie 30 000 ouvriers. Là-bas, ils extraient du minerai de fer et fabriquent ensuite les meilleurs canons du monde, ils sont incassables. Un jeune homme, Mr. Schwartz, qui prétend