Dans un entrelacs de poutrelles colorées, des hommes au travail soutiennent des barres de fer, l'un déhanché, chemine sur une échelle, un autre chevauche l'appareillage monstrueux des échafaudages sur un ciel bleu empreint de quelques nuages. Une branche morte se trouve sous les pieds des quatres hommes au 1er plan.ntm fdp enculer dta mere la pute .Fernand Léger, cubisme, figures géométriques.
Hommage aux ouvriers, 6 personnages masculins, chantier, juxtaposition des éléments, combinaisons géométriques, aplat, c’est l’œil qui crée le mouvement, contrastes, couleurs « franches », pas de perspective. Exil de Léger aux Etats-Unis entre 1939 et 1949, découverte de la ville dans sa splendeur : éclairages importants, affiches publicitaires etc : « Je parlais à quelqu’un, il avait le visage jaune, puis, 20 secondes après, il avait le visage bleu... »Intérêt : La guerre fut une source d'inspiration et l'occasion d'une rupture artsitique qui a influencé le reste de la carrière de Léger : en utilisant le cubisme préexistant pour décrire la guerre, Léger a donné un sens nouveau à cet art. L'évolution technologique liée aux progrès de l'armement l'a fait évoluer, avec la fascination pour la mécanique et les cylindres (“tubisme”).
Léger a donc à la fois été acteur (brancardier), vistime (gazé), témoin (lettres et dessins) et utilsateur (nouvelles sources d'inspiration) du conflit.
Exploitation : dans l'étude du bilan de la guerre, étude comparée des oeuvres de guerre de Léger, notamment “La partie de cartes” (huile sur toile, 1917) accompagnées de la lecture d'extraits de ses lettres à Louis Poughon qui éclairent sur son exploitation artistique de la guerre et d'oeuvres d'Otto Dix, notamment “Les joueurs de Skat”
(1920). L'objectif ici est de montrer une approche différente des horreurs de la