Les francais pendant la premiere guerre mondiale
La vie dans les tranchées était très dure à cause des rats, des maladies comme la tuberculose, du froid et du bruit. Les soldats ne pouvaient ni se laver, ni se raser en première ligne. Les tranchées étaient petites et remplies de boue et de cadavres. Les soldats avaient très souvent des poux, des rats venaient voler la nourriture et manger les cadavres. Les soldats sont mal nourrit car à la suite des blocus ils reçoivent de moins en moins de nourriture. Dans les tranchées ce n'est pas une boue liquide. C'est une boue de glaise épaisse et collante dont il est presque impossible de se débarrasser, les hommes se brossaient donc avec des étrilles. Par temps de pluie, la terre des tranchées, bouleversées par les obus, s'écroulent un peu partout, et mettait au jour des cadavres qui dégagaient une odeur nauséabonde. On donnait souvent aux soldats avant de partir combattre de la gnole ou du vin pour les saouler un peu, ainsi ils se rendaient moins compte du danger. 1917 connaît une crise qui affecte tous les secteurs.L’échec de l’offensive du Chemin des Dames a pour conséquence immédiate les mutineries qui s'élèvent contre les conditions de combat et non contre le fait de combattre en lui-même. Parmi les 40 000 mutins, il n’y pas de désertion, ni de fraternisation avec l’ennemi. Ils restent dans leur cantonnement et refusent de monter en ligne. Ils insultent les officiers qu’ils jugent incompétents. Les mutins sont punis avec une relative modération par Pétain, devenu le général en chef des armées françaises à la place de Nivelle. Il y a 629