Les guerres carliste en espagne
L'idéologie carliste peut se résumer dans le slogan «Dieu, Patrie, le Roi», qui a été accompagnée par la monarchie autoritaire catholique, une défense de la tradition et d'un système politique et juridique de ses propres juridictions régionales de chaque territoire. Prise en charge des sections cause carliste grande partie de la paysannerie et de la petite noblesse et le clergé, a sa cause dans la défense d'un monde traditionnel, principalement en milieu rural, qui se sent comme leurs libertés sont écrasés par les intérêts du centralisme libérale (formes la propriété et la propriété foncière, les associations de protection, des modes de comportement et de sociabilité, etc.).
Cependant, Ferdinand VII se révèle très vite un souverain autoritaire. Confronté à de violentes révoltes, il est contraint en 1822 de proclamer une Constitution qu'il ne respecte pas. Il rétablit l'Inquisition et persécute les libéraux. Le général Rafael del Riego, avec la complicité d'autres officiers, organisa une mutinerie le 1er janvier 1820 et exigea le rétablissement de la constitution de 1812. Les troupes de Riego marchèrent sur les principales villes d'Andalousie, dans l'espoir de provoquer une insurrection anti-royaliste, mais la population locale manifesta une certaine indifférence. En revanche une révolte éclata en Galice et se propagea rapidement à travers l'Espagne. Le 7 mars 1820, le palais royal de Madrid fut encerclé par les soldats du général Ballesteros, et dès le 10 mars, le roi accepta de rétablir la constitution. Ce dernier fit alors appel à la France qui intervient en 1823 par l'Expédition d'Espagne. Ferdinand VII retrouva tous ses pouvoirs et inaugura une période