Les lettres de mon moulin
La diligence de beaucaire : Elle raconte l'histoire d'un Parisien qui voyageant dans la diligence en apprend plus sur les Beaucairois, et plus particulièrement sur l'histoire d'un rémouleur et de sa femme infidèle.
Le secret de maitre cornille : Le moulin de maître Cornille est le seul encore en activité depuis qu’une minotier à vapeur s’est installée. Or, depuis longtemps, plus personne ne lui apporte de blé alors que les ailes du moulin continuent de tourner. On découvre que ce que le meunier fait passer pour des sacs de farine ne sont que des sacs de plâtre. Les villageois décident alors d’apporter du blé au moulin. Maître Cornille pleura de joie en les voyant tous arriver ; il avait toujours cru qu'un jour les gens reviendraient chez lui moudre du blé, bien qu'il commençait progressivement à perdre espoir. Durant toute la fin de la vie de Maître Cornille, les gens de la région continuèrent à lui amener régulièrement quelques sacs à moudre, mais quand le vieux meunier mourut, le dernier des moulins à vent s'éteignit avec lui.
La chêvre de Mr Seguin : Pierre Gringoire, ami de Daudet, refuse la place de chroniqueur qu'on lui offre dans un journal parisien, et préfère rester libre de toutes contraintes. Son ami lui raconte alors l'histoire de la chevre de monsieur Seguin. Ce dernier avait eu six chèvres, toutes mangées par le loup car elles étaient allées dans la montagne. Elle a même une aventure avec un jeune chamois à pelage noir : ils s'égarent « parmi le bois une heure ou deux ». Mais le soir tombe ; Blanquette entend la trompe de monsieur Seguin qui l'appelle, mais elle ne compte pas être de nouveau enfermée. Elle décide de rester dans la montagne, et se bat vaillamment contre le loup toute la nuit ; au lever du jour, Blanquette, épuisée par un combat inégal, finit par se laisser dévorer.
L'arlésienne : Le jeune homme ne s'appelle plus Jan mais Frédéric, et il ne vit plus avec ses deux parents,