Les parties prenantes et les contre-pouvoirs
I. L’entreprise : un système ouvert sur l’environnement
Les dirigeants, et les salariés (=parties prenantes) assure le fonctionnement de l’organisation, et ses relations avc les agents économique de son environnement (consommateurs, clients, fournisseur, actionnaires, etc.). Ce réseau de pouvoir et de contre-pouvoir s’exprime ds des négociations, et se traduit par un ensemble de contraintes, et d’opportunités pour l’entreprise qui pèse sur le processus de décision.
Partie prenante = fait référence à la volonté de chacun des acteurs de bénéficier d’une fraction de la valeur ajoutée produite par l’entreprise.
Gouvernance d’entreprise : constitue un mode d’arbitrage entre les intérêts contradictoires des différentes parties prenantes (externes ou internes), et source éventuelle de contre-pouvoir.
II. Les parties prenantes internes
1. Les parties prenantes internes
A) Les salariés
Les salariés constituent la part la plus importante des parties prenantes internes :
• En termes de répartition de la valeur ajoutée à travers les salaires et la participation aux résultats de l'entreprise (cad prime d'intéressement, 13e mois)
• En terme stratégique, car il représente le capital humain essentiel à son activité et à son dvt (sans salariés = pas d'activités)
Ils constituent un contre pouvoir puisque els objectifs de l'entreprise ne peuvent être atteints sans leur participation alors que leurs objectifs personnels divergent parfois des objectifs communs (souhaite condition de w plus avantageuse : augmentation rémunération, aménagement des horaires)
B) Les relations de pouvoir
Selon CYERT, et MARCH, se forme ds les entreprises des coalitions (=groupes) d'individus ayant des buts différents. Ces coalitions doivent négocier entre elles, et ceci conduit aux prises de décisions. Les objectifs poursuivis par l'entreprise ne seront pas rationnels mais représentent le meilleur compromis possible entre les objectifs de