Les pensees, pascal, un ams confus
A première vu, les Pensée peuvent avoir l’air d’ « un amas confus » d’idées. En effet, l’ouvrage est compose de fragments qui sont disposes les uns après les autres, sans lien qui puisse rendre cet ordre logique. Il semblerait que les fragments ont tout simplement étés juxtaposes puis relies pour faciliter leur lecture. De plus, après une lecture complète de l’œuvre, nous nous rendons compte que pascal se repete enormement. Il reprend le même sujet sans changer l’idée dont il veut en dégager. Un second élément qui peur rendre la compréhension du texte confuse est le simple fait que certains fragments ne sont constitues que d’une seule phrase qui ne peut avoir tout son sens qu’avec des explications. Le fragment 17 en est la preuve, pascal dit : « il a quatre laquais » sans aucune autre indication. C’est seulement grâce aux références ajoutes par l’éditeur que le lecteur peur savoir que le «il» sa rapporte a quelqu’un de noble et que le fait aque cette personne ait des laquais est un preuve visuelle qu’il faut s’incommoder face a elle. Le fragment 15 est encore plus abstrait que celui-ci, il comporte seulement un chiffre et un mot : « 12000 capuchons ». il faut être quelqu’un d’extrêmement cultive et surtout vivant dans le XVIIIeme siècle pour se rendre compte que Pascal fait ici