Les Po Mes Portent G N Ralement Sur Un Th Me Bien Pr Cis
Nous pouvons remarquer que derniers vers est un poème qui fait une description positive de l’Hiver, il nous évoque l’herbe mouillée, les gouttes d’eau, les fêtes de fins d’années tout comme les fleurs du mal qui lui nous propose un éloge de la nature. Le premier vers de ce poème qui est « La Nature est un temple ou de vivants piliers » nous indique que l’auteur comparer et vois la nature comme un temple c’est-à-dire une merveille. Ensuite nous pouvons aussi avoir une vision d’un monde moderne, Emile Verhaeren nous prouve ceci grâce à la métaphore « Les usines se regardant avec les yeux cassés de leurs fenêtres » ils nous rappelle que notre monde est remplit d’usines quant à Jules Laforgue qui lui aussi nous parle d’usine mais en beaucoup moins péjoratif nous l’observons grave a « Oh, dans les bruines, toutes mes cheminées !..D’usines…. ». Part ailleurs Les villes tentaculaires fait une description sale du monde, il trouve que c’est un lieu pollué, nous le remarquons grâce au vers 2 « L’eau de poix et de salpêtre ». Ce qui nous emmène à voir deux visions du monde, une vision d’un monde sale et une vision d’un monde beau et propre.
Nous allons maintenant étudier les différentes réactions que l’on perçoit en vue des poèmes. Dans son poème Emile Verhaeren nous provoque une réaction de dégout face à un monde sale et sinistre. Le monde est décrit de façon misérable et sombre mais si l’on regarde de plus près nous trouvons des mots qui nous évoque plus la vision d’un monde fictif des mots comme « éclairs » v 15, « infini »v23. Dans les deux autres textes on nous offre plus une réaction