Obidike Joannisse
Sciences, letters et arts

Les sophistes et les philosophes

Résumé présenté à
Guillaume Allard
Dans le cadre du cours
Philosophie et rationalité 340-1SL-HU
Groupe 00001

Cégep de l’Outaouais
Campus Gabrielle-Roy
26 novembre 2012

Si toute le monde pense de sa façon, il est normal de trouver normal que les opinions ne sont pas meilleurs que d’autres. La vérité serait relative à chaque personne ou chaque groupe de personnes. Deux courants de pensée s’oppose à propos de la vérité des opinions. Le premier est les sophistes, qui pense que la vérité est propre à chaque personne. L’autre côté, Socrate, qui est contre cette opinion, pour lui c’est la recherche de l’universel. Si l’on comprend cette discussion cela nous permet de mieux se situer par rapport au problème qui est constamment actuel du relativisme, qui met en valeur l’opinion spontanée au plutôt que de l’opinion réfléchie. Pour les sophistes, de persuader un auditoire par la force du discours est nécessaire pour la réussite d’une personne. Socrate, de son côté, n’est pas d’accord avec les sophistes et leurs discours, pour lui la vérité ne peut pas provenir de chaque personne sur al base de l’opinion. Pour Socrate, la recherche de la vérité est un action nécessaire et valide. Les sophistes ne sont pas tout à fait clair aujourd’hui, des personnes pensent que les sophistes sont des personnages mystérieux, mais pour d’autres se sont des penseurs progressistes et qui a placé la rhétorique au cœur du comportement de l’humain. Cependant, pour Aristote, les sophistes ne font qu’argumenter pour le plaisir. Pour Platon, la rhétorique est une compétence qui motive davantage par la flatterie que par la vérité. Cependant, pour d’autres, les sophistes sont des experts du savoir et ils ont le statut social d’un intellectuel moderne. Les sophistes sont devenu des enseignants à Athènes, mais pour pouvoir avoir leur