Les souffrances du jeune werther
1. À celle des prisonniers à l’intérieur de la caverne
La réalité des prisonniers provient de ce qu’ils perçoivent et est formée petit à petit par déduction venant des informations qu’ils récoltent ici et là. Bien qu’elle ne s’accorde pas avec la notre, la façon de faire est la même. Platon fut la remarque suivante, « ne penses-tu pas qu’ils ne prendraient pas sa voix pour celle de l’ombre qui défilerait.»(p.53) Les prisonniers, tout comme nous, adoptent la logique du casse tête.
C'est-à-dire, ils assemblent les morceaux semblable afin d’y trouver une conclusion logique et vraisemblable. Nous sommes peut-être plus proche de la réalité qu’eux mais notre façon de faire et de procéder est fondamentalement la même. Cela peut être ainsi comparé à l’enfant qui vie dans un monde ou le moindre bobo peut être guérit par un bisou ou des promesses de sucreries . Tout comme les prisonniers ils ne perçoivent qu’une petite fraction de la réalité et se ramènent à des conclusions simplistes et dignes de celles d’un enfant de quatre ans. Tout comme eux, l’enfant de quatre ans se contente du peu d’information qu’il a et y accorde ses propres définitions sans trop accorder d’importance aux détails.
2. À celle du prisonnier qui se libère
Tout comme le prisonnier libéré par force, nous avons tous été bousculé et forcé à pénétrer le monde et de s’y adapter. Cette analogie peut être comparée au nouveau née propulsé de son nid auquel il s’y était fait maison pendant neuf mois. Nous entrons ensuite dans le monde des adultes à la suite de l’adolescence si pas avant, avec des promesses de succès et de joie, contre notre gré. Le prisonnier rencontre une grande difficulté à affronter le soleil puisqu’il n’y avait jamais fais face. Tout comme nous, cela peut nous prendre jusqu'à quatre étapes avant d’atteindre le niveau d’adulte et fonctionner selon les normes dans la société. Le soleil peut