Les totalitarismes de l’entre deux guerres
Les critères communs, tentative de définition
Texte 4 page 289 les 6 critères pour une définition selon R. Aron

La première des propriétés caractérisant ce régime politique est celui du parti unique. Les autres demeuraient annulés, et interdits.
En Italie, le PNF, Parti National Fasciste, s’instaure en 1925 au pouvoir et proclame les lois fascistisimes. Cependant, le groupe politique s’est crée en 1919. Celui-ci comme en Allemagne, arrive après une démocratie au gouvernement. L’origine de cette ambition à la reconstruction d’un empire, vient de l’Antiquité à partir de laquelle les italiens puissent leur source.
En Allemagne, le parti par excellence demeure le NSDAP, Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands. Crée en 1920 -21, il réussit à s’instaurer au pouvoir en 1933 sous les ordres d’Adolf Hitler. On rencontre un antisémitisme médiéval duquel leur idéologie se nourrit et ceci sera illustré postérieurement par les lois de Nuremberg en 1935.
En URSS, le stalinisme avec son parti le PCUS, Parti Communiste Union Soviétique, arrive au gouvernement de cette immense région en 1928. Leurs fondements sont puisés dans le projet humaniste de la France et l’Europe, et notamment du marxisme. La date de création fut révélatrice de ces principes par l’abolition du tsarisme, lors de la révolution et l’éclat du régime aristocratique en 1917, au cours de la Grande Guerre, de laquelle les « russes » se retirèrent.

D’autre part, on retrouve aussi une grande similitude à l’idéologie des trois totalitarismes.
Le fascisme a un grand appui sur l’Église et notamment sur le Pape. La preuve en est la concession du territoire du Vatican, l’état le plus petit au monde actuellement, à l’institution religieuse. De faite, on proclame aussi, un anticommunisme, anti syndicalisme et antisocialisme forts, en opposition aux idéaux staliniens. L’anti bourgeoisisme et l’anti capitalisme sont aussi prônés mais ceci résultera faux,