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Les caractères de la bruyère, jean de la bruyère, jean de la

656 mots 3 pages
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Théodecte, Les Caractères De la Bruyère. introduction :
Au XVIIeme siècle, de nombreux auteurs font partie du mouvement du classicisme.
Parmi eux, Jean de La Bruyère, moraliste français qui a su plaire aux autres personnalités de son temps,
Il est connu pour son œuvre « les caractères » qui décrit les mœurs du 17e. Notre extrait apparaît dans les caractères de « la société et de la conversation ».
La Bruyère nous fait le portrait d’un noble grossier. comment La Bruyère décrit-il un noble qui ne …afficher plus de contenu…

» : pour qu’on l’entende
-« il rit, il crie, l’éclate » : gradation de sens, cri -> un tonnerre : métaphore hyperbolique.
-« on bouche ses oreilles » : le volume sonore
-« il n’est pas moins redoutable […]dont-il parle »: redoutable, nous fait penser à un ennemi redoutable, répond à un tonnerre, il dit de grosse bêtise forte.
-« il ne s’apaise […] de ce grand fracas. » fracas, répond à tonnerre, cri, éclate : champ lexical du bruit.
S’apaise : antithèse : il ne s’apaise pas comme un orage -> il s’arrête jamais.
-« bredouiller » : manque de clarté, en dessous, même de la parole, bête, prétentieux, le montre, autant qu’ il peut. -Portrait sonore : le personnage est constamment en mouvement.II) portrait en société
-« si peu d’égard »: aucune considération pour personne, il ne respecte …afficher plus de contenu…

-« il mange […] tout à la fois » : gradation, enchaînement d’action à la bouche, il mange vulgairement.
-« il n’a nul […] ni des convié »: aucune importance aux classes sociales
-« ils abusent de […] Ah, pour lui » : il sait qu’on ne le dira rien, donc il a un jour.
Les autres le respectent alors qu’ils ne devraient pas.
-« est-ce lui […] ? »: il se montre ridicule : question rhétorique, il agit comme s’il était le maître de maison.
-« il rappelle […] table » : c’est lui qui fait la loi. Il va lancer la conversation ou donner des ordres.
- « le rien […] caractère »: son comportement est toujours le même -> il est terrible et ne s’arrête jamais.
III) fuite du narrateur
-« si l’on joue […] qui perd » : il est compétitif, mauvais et joueur

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