Les nouvelles chroniques du crime
La répartition bien pensée des indices et des pistes conduisant à la résolution de l’intrigue, et le vocabulaire rappelant les émotions fortes (p. ex., la peur, l’angoisse) contribuent au suspense. Le dénouement lève le voile sur le …afficher plus de contenu…
Dès le début, une nouvelle policière comprend ce que l’on appelle un « élément déclencheur » (une situation qui va intéresser le lecteur à lire l’histoire, pour savoir ce qui va arriver). Ensuite viennent le déroulement, le dénouement et la finale. Dans la nouvelle, le nombre de personnages est assez réduit (p. ex., 3 ou 4). De plus, il faut éviter les longues descriptions ou les analyses psychologiques, et privilégier l’action. On dit souvent qu’il vaut mieux « montrer, au lieu d’expliquer ». De préférence, pour donner un rythme rapide à la nouvelle, on utilise des phrases courtes. Dans une nouvelle, la finale est importante. C’est ce que l’on appelle la « chute ». En général, elle doit étonner, choquer, faire sourire, intriguer, faire peur – bref, susciter une émotion