LES TROIS PETITES LUMIERESMmttccff, voici un sujet bien classique pour nous. A chaque tenue, nous côtoyons ces 3 petites lumières, là face à nous. Elles sont installées parmi les autres éléments du temple. Pourtant, lors de la préparation de ce travail, je me suis vu replongé dans un univers de symbolisme. « Lumière » . Rayon electromagnetique dont la longueur d’onde se situe entre 400 et 780 nanometre nous dit le petite Larousse. Mais aussi, clarté émise par le soleil, source lumineuse, branche …afficher plus de contenu…

Que cette lumière nous éclaire conclut enfin le vénérable. Cette lumière, siégeant près du vénérable maitre, est transmise aux deux surveillants, par le biais du maitre des cérémonies. Par la même, les trois colonnettes vont enfin pouvoir briller, et apporter à la loge, sagesse, force et beauté. Ces trois petites lumières sont présentes dans toutes les loges du monde, quel que soit le rite utilisé. Les emplacements des colonnettes sont différents, bien que toujours en fonction de la place où siège le vénérable et les surveillants. Certaines colonnettes peuvent être rouge, verte et bleue, rappelant une correspondance au souffre, au sel et au mercure. Le vénérable maitre transmet donc cette lumière à ses deux surveillants. C’est un véritable acte de confiance qu’il effectue …afficher plus de contenu…

Autant de mots dans lesquels les frères reconnaissent leur vénérable maitre. La sagesse permettra au vénérable maitre d’utiliser les compétences de chacun, sans classement ni favoritisme, mais uniquement pour le bien de notre loge. Ce pilier sud-est est toujours de construction ionique. Il est forcément beau, mais sans ostentation, il évoque la simplicité. Alain Lejeune a dit « être sage est avant tout de savoir donner à autrui la nourriture qui lui convient, afin de le faire grandir à son tour, pour le profit de tous ». Puis c’est au pilier sud ouest d’être allumé. La force va alors aider les frères lors de leurs travaux. « Que la force la soutienne ». Cette force, détenue par le premier surveillant, n’est pas qu’un atout physique permettant aux apprentis de tailler les pierres brutes, aux compagnons de les rendre