Ce texte est un extrait de « Lettre à Morus du 5 février 1649 ». Il a été écrit par Descartes.
Dans cet écrit, Descartes répond à sa manière à la problématique suivante : L’absence de langage chez les animaux, prouve t’elle que ceux ci soient pour autant dénués de pensées ?
Descartes semble opter pour cette idée. Il argumente cela dans sa thèse.

Descartes explique que dans une même espèce, nous pouvons noter que l’intelligence varie selon les individus, quelque soit sa race. Certaines races sont quand à elles plus intelligente que d’autres. Par exemple, certaines races de chiens seront plus aptes à apprendre des ordres, ou des tours que d’autres races de chiens. Il en est de même pour d’autres espèces animales telles que les oiseaux. Les aigles royaux sont certainement plus doués que les vulgaires pigeons de ville. Nous pouvons prendre aussi l’exemple de la race humaine, qui, de même, est composée d’êtres plus ou moins dotés de facultés utiles. Certaines personnes en dominent d’autres dans le domaine de la réflexion, d’autres dans le sportif… Mais nous noterons que dans tous les cas, certaines espèces resteront plus développées que d’autres, tel que les hommes sont plus intelligents que les poissons. Et il sera plus facile d’apprendre à un chien à ouvrir une porte de maison que d’apprendre à un oiseau à ouvrir la porte de sa cage. Puis nous voyons chez certaines espèces que certains individus arriveront même à imposer leur autorité à tous, nous voyons ce phénomène dans les meutes de loup dans lesquelles un male dominant deviendra le chef de sa meute de même avec les lions. Nous le voyons très bien aussi avec la race humaine, avec les dictateurs qui arrivent au pouvoir dans leurs pays par la force et/ou l’intelligence et/ou la ruse et peuvent ensuite commander des millions d’individus !
Certaines espèces vont mettre en place des hiérarchies assez développées au sein de leur communauté comme les fourmis, les abeilles …
Certaines espèces animales vont plus